20 juillet 2012
Mot, maux du moment
Pénible l'attente du départ.
Nous sommes à 5 jours de notre dernier jour de travail, à 10 jours de la mise à l'eau de Don Quichotte et la tension monte. Aller au travail est de plus en plus difficile sans compter l'intérêt très limité des affaires à traiter du genre :
- rattraper les charges non facturées par le loueur de l'appartement depuis plus de 2 ans (900 euros tout de même, ça fait mal),
- préparer l'appartement pour l'état des lieux (boucher les trous, les p'tits trous, toujours des p'tits trous, lalala...),
- vendre les derniers meubles,
- gérer la mutuelle qui ne veut pas stopper ses prélèvements parce que nous n'avons pas de nouveau contrat de travail à lui présenter,
- trouver une solution pour obtenir une facture d'un dentiste qui est parti en congé.
Et puis, il faut avouer que nous avons du mal à stopper une petite appréhension qui se fraye un chemin dans nos petits cerveaux.
Bon, vivement que tout cela se termine.
Heureusement qu'il y a les pots de départs et les soirées entre amis.
Et c'est le dernier week-end à Besançon ! Youpi !
A bientôt
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